Sein, l’île du bout du monde est un nouvel ouvrage réalisé en auto-édition. Il sortira le 25 octobre 2021 et est disponible en précommande. Chaque achat en précommande (ou souscription) permet de couvrir en partie les frais d’impression. L’ouvrage sera envoyé à sa sortie. Pour remercier les souscripteurs, la livraison sera accompagnée d’un petit ouvrage (250 x 190, 50 pages, Editions Ouest-France, collection Découvrir par l’image : Voiliers traditionnels des côtes de France).
Benoît Stichelbaut : "Particulièrement attaché à l’île de Sein, j’y ai séjourné plusieurs fois, à différentes saisons. En hiver, les prises de vue sont parfois un sacré challenge ! Pour illustrer des ambiances de tempêtes, l’objectif a été de réunir un grand coefficient de marée et une série de dépressions, un défi qui a pris plusieurs années d’attente. Mais le résultat est à la hauteur des espérances avec des images de vagues explosant sur le quai, jusqu’à dépasser le toit des maisons. Une autre année, lors de prises de vue en hélicoptère, le pilote hésite à se poser sur l’île, le vent dépassant 60 nœuds dans les rafales. Mais quel spectacle !
En 2019, je me suis installé à Sein plusieurs jours, organisant ainsi une propre « résidence d’artiste ». Le projet est de profiter au long terme de l’atmosphère si particulière du lieu et d’être entièrement disponible à la photographie. L’objectif était de mettre en avant les différentes ambiances de l’île afin d’en refléter la personnalité.
Et si l’île fait le bonheur du photographe, elle est particulièrement inspirante pour l’auteur. Dans l’ouvrage nous retrouvons les thèmes chers au voyage et au reportage : la singularité d’un lieu, la confrontation aux éléments naturels, l’attention nécessaire à l’instant photographique.
L’île de Sein sert aussi de support à une vision plus large. Campée entre la terre et la mer, entre le matériel et l’immatériel, entre le fini et l’infini, l’île reflète notre aspiration à plus de beauté, d’inspiration ou de création. Elle incite à ralentir afin de permettre à nos sens de s’éveiller. Elle nous convie à davantage de présence. L’île symbolise la nécessité de l’être sur l’avoir.
Le reportage photographique se transforme alors en navigation intérieure. Et le cap est fixé vers le grand large. "
Une étude de l’Université de Berne a conclu que, contrairement à ce que l’on supposait jusque-là, les courants marins circulant dans l’océan Atlantique et responsables du climat doux en
Europe, ne se sont pas complètement arrêtés à la fin de la dernière période glaciaire. Une
découverte non sans conséquences sur les débats menés autour des (…)
Le voilier français Blue Observer a bouclé avec succès ce mercredi 19 janvier la deuxième des trois étapes de sa grande mission océanographique. À la seule force du vent et en 36 jours, l’équipage de six personnes mené par le navigateur Eric Defert a parcouru plus de 6 000 milles entre Woods Hole (Etats-Unis) et l’île de Sainte-Hélène (UK). (…)
Le Parlement européen a adopté à une grande majorité le rapport sur le système de collecte des données relatives à la consommation de CO2 des navires. Derrière ce titre technique se cache en réalité une avancée majeure pour accélérer la décarbonation du transport maritime.
Le voilier de course Malizia II, mené par Pierre Casiraghi, fondateur de l’équipe et du navigateur Boris Herrmann, vient d’arriver dans la baie de New York, avec à son bord Greta Thunberg.
Depuis son retour de l’Expédition OceanoScientific 2016-2017, le 2 juin de l’année dernière au ponton d’honneur du Yacht Club de Monaco au terme de son tour du monde en solo de 152 jours, dont 60 de campagne océanographique inédite et réussie autour de l’Antarctique, sous le 40° parallèle Sud et les trois grands caps continentaux : (…)
Le projet révolutionnaire d’Yvan Bourgnon rentre dans une nouvelle phase. Créée en septembre 2016, l’association The SeaCleaners qu’il préside vise à lutter contre la pollution océanique au travers de la construction d’un navire inédit à la pointe de l’innovation, le MANTA, collecteur de déchets plastiques en mer. Après un an et demi (…)
Bruno Peyron, skipper of the maxi-catamaran Orange with Gilles Chiorri (boat captain) and Yann Penfornis (one of the boat’s designers) and Eric Mas (Météo Consult) at his side has just announced at a press briefing in Vannes that he will be casting off this afternoon at about 1800 setting course for Ushant to cross the starting line of the (…)
Bruno Peyron, skipper du maxi-catamaran Orange entouré de Gilles Chiorri (boat captain), Yann Penfornis (architecte du bateau) et Eric Mas (Météo Consult), a annoncé lors d’un point presse à Vannes qu’il appareillera aux alentours de 18h00 pour mettre le cap sur Ouessant et prendre à nouveau le départ du Trophée Jules Verne demain dans la matinée.
Il y a un tout juste an, le 3 mars 2001 à Marseille, le maxi-catamaran Club Med franchissait en vainqueur la ligne d’arrivée de la première édition de The Race, au terme de 62 jours, 6 heures, 56 minutes et 33 secondes d’une navigation hors-norme. 27 408 milles (soit 50 760 Kms) avalés à la moyenne hallucinante de 18,3 noeuds... du jamais vu !
While the shore teams beaver away in the never-ending heat, preparing the race boats for the next leg of the Volvo Ocean Race to Miami, the race crews have been resting and relaxing. Some have returned home, but those remaining in the city of Rio de Janeiro have been out and about and making the most of this lively city.
The maxi-catamaran Orange’s capshrouds and shrouds, which they were still waiting on wednesday to be returned from the USA, have arrived and have cleared customs. Philippe Peche and Vladimir Dzalba Lyndis dispatched to Paris to collect them are now on the way back to Vannes with their precious load !
Early yesterday afternoon, the Cap Gemini Ernst & Young Schneider Electric trimaran was already heading for the north-west point of Brazil, thanks to the light trade winds now blowing from the east-south-east.
Hier en début d’après-midi, le trimaran aux couleurs de Cap Gemini Ernst & Young Schneider Electric, grâce à des alizés légers d’est-sud-est, pointait déjà par le travers de la pointe nord-ouest du Brésil à environ 550 milles nautiques du continent sud-américain et glissait alors majestueusement sur les vagues de l’Atlantique sud à plus de (…)
Depuis plus d’une semaine, les équipages, après quelques jours d’un repos bien mérité, ont repris le collier pour préparer leur bateau pour la prochaine manche, l’étape Rio de Janeiro – Miami, dont le départ sera donné le samedi 9 mars.
En un temps record, le chantier naval Multiplast, constructeur des Jet Services, des sister-ships Club Med et Orange / Innovation Explorer ou encore de Geronimo et des deux derniers Class America français, a réparé le mât brisé du catamaran de Bruno Peyron.