Lors de son 61e jour de tentative, le trimaran aux couleurs de Cap Gemini et Schneider Electric a parcouru 431 milles à la vitesse moyenne de 17,96 noeuds. Geronimo a ainsi accentué son avance sur le record actuel. En effet, ce matin à 3 heures TU, Orange était virtuellement à 1361,60 milles de l’arrivée alors que Geronimo pointait à 1251,90 milles, soit un écart favorable de 109,7 milles.
Comme prévu, Olivier de Kersauson et ses 10 hommes d’équipage ont entamé la traversée de l’archipel des Açores la nuit dernière, situé entre 37° et 40° de latitude Nord et entre 26° et 31° de longitude Ouest.
En fin de matinée, le vent est tombé à 5 noeuds et Geronimo progressait à 9 petits noeuds entre les îles. La moyenne sur les douze dernières heures reste cependant à 13,40 noeuds, rehaussant à 15,97 noeuds la moyenne nécessaire pour franchir la ligne d’arrivée avant 12H 36Mn 33Sec dimanche. Comme on peut l’imaginer, l’atmosphère à bord est tendue, et toutes les communications sont concentrées sur l’analyse météorologique. De même l’organisation des quarts est difficile à tenir, les deux quarts Cap Gemini et Schneider Electric étant en réalité tous sur le pont ou les yeux rivés aux compteurs. Difficile de trouver le sommeil alors que tout se joue dans les prochaines heures.
Les prévisions météo donnent des vents faibles sur les prochains 700 milles, entre 2 et 15 noeuds de vent, une zone oscillante de haute pression restant bloquée en travers de la route. Les derniers 300 milles devraient s’effectuer au près, avec environ 15 noeuds de vent de Sud-Est. Dans ces conditions, Geronimo peut marcher à plus de vingt noeuds sur mer plate, mais cela suffira t’il ?
À l’issue d’une course haletante, le Maxi Banque Populaire XI a franchi la ligne d’arrivée ce lundi au petit matin à 6h23. Après 1 jour, 18 heures et 3 minutes de course, l’équipage autour d’Armel Le Cléac’h termine à 45 minutes du vainqueur (SVR-Lazartigue). Un sprint qui contribue à poursuivre la montée en puissance de l’Ultime avant la (…)
Du 29 avril au 10 mai 2026, les ULTIM se donneront rendez-vous à Antibes. À bord de ces multicoques volants, les équipages disputeront une course vers l’inconnu au fil d’un sprint haletant et épique, qui les mènera jusqu’aux rivages de la Grèce, avant de revenir dans la cité antique. Un défi humain et technologique sur les traces de l’Odyssée (…)
Créées en 2022, avec le soutien de Banque Populaire Grand Ouest, les 24H Ultim bouclent, depuis leur origine, la rentrée des plus grands trimarans du monde, les ULTIM. Cette épreuve installée au calendrier annuel de la Classe éponyme, prend davantage d’ampleur en 2025 pour s’inscrire également au Championnat annuel Ocean Fifty Series. Outre les (…)
Sodebo met le cap sur une année 2025 axée sur le double. Le trimaran Sodebo Ultim 3 sera remis à l’eau début juin, après une importante remise à niveau, fort de l’incroyable expérience engrangée lors des navigations de 2024, avec pas moins de 55 000 milles parcourus (101 860 km) ! Thomas Coville, skipper historique du projet, s’entoure cette (…)
Synonyme d’excellence et d’innovation dans le domaine de la course au large, la Classe ULTIM® présente un programme sportif ambitieux pour les quatre prochaines saisons en alternant des courses en solitaire, en double et en équipage.
C’est officiel, après huit ans de bons et loyaux services, un palmarès légendaire et près de 200 000 milles parcourus sur toutes les mers du globe, Gitana 17 change de patronyme ! Actual group s’est porté acquéreur du Maxi Edmond de Rothschild qui, dans les prochaines semaines, deviendra Actual Ultim 4 et entamera sa deuxième vie au sein de la (…)
La jauge Mini pourrait évoluer dans les prochaines années. En dehors du débat sur l’autorisation des mâts en carbone dans la division Prototypes, s’est aussi posée lors de la dernière assemblée générale la question sur les bout-dehors en Série. Les membres de la classe se sont, là encore, positionné en faveur d’une réflexion plus approfondie. (…)
In the french version of SeaSailSurf.com, you can read Sébastien Magnen, Pierre Rolland, Ollivier Bordeau and Denis Glehen’s answers about the possible change in the prototype division of the mini 650 class rules. This time, it is to Leo Voornevelt to answer to thoses question.
Leo followed the last Transat 650 Charente Maritime Bahia. As (…)
Un deuxième défi français pour la coupe de l’America ! Est-ce vraiment possible alors que le team actuel, Le Défi peine à trouver un budget pour rejoindre Auckland ? C’est en tout cas ce que pensent les Kandler père et fils. Appuyés sur leur société K-Yachting, ils lancent K-Challenge. Un cas à part dans l’histoire de la Coupe en France.
Le jeune Anglais Alex Bennett convoyait le monocoque jaune ex-Aqua Quorum quand il a été contraint d’abandonner son bord après que le système hydraulique qui fait pivoter la quille ait donné de graves signes de faiblesse.
14th December 2001, 29 26 09’ N 26 03 49’ W : At 23.00 GMT Alex Bennett, 25-year-old solo yachtsman, abandoned his Open 50 racing yacht ‘One Dream One Mission’ to the elements.
Like the other skippers of Open 60 monohulls, the American sailor Bruce Schwab has done his inversion test for his new Ocean Planet. An important moment for the skipper :
Après Sébastien Magnen et Pierre Rolland, deux architectes navals, Ollivier Bordeau, un constructeur, voici l’avis d’un spécialistes des calculs de structures. Denis Gléhen est responsable des calculs chez HDS (Hervé Devaux Structures) à Brest. Il a travaillé sur les études de Club Med, de différents trimarans de 60 pieds et dernièrement de (…)
Une bonne prise sur le pont de Sill Plein Fruit. Photo : G. Le Cléac’h
Trois monocoques sont actuellement en convoyage retour vers la France. D’un côté, Sill Plein Fruit, l’Open 60 victorieux de la Transat Jacques Vabre rentre aux mains de Gaël Le Cléac’h et son équipage, accompagné par celui de Dominique Wavre. D’un autre, Adrien, le monocoque ‘no limit’ de 25 mètres de Jean-Luc Van Den Heede, qui poursuit sa (…)
Le patron du chantier naval Latitude 48°24’ répond, à son tour et sur le ton de l’humour, sur l’opportunité d’ouvrir la jauge des 650 prototypes aux tubes en carbone.
Grant Dalton doit maudire la rafale de 45 nœuds qui a couché Amer Sports One la veille de son arrivée à Sydney. Projeté à l’intérieur du bateau dans une chute magistrale, alors qu’il était entrain de cuisiner (fait exceptionnel), Dalton souffre de deux côtes cassées ainsi que de plusieurs fractures aux vertèbres qui pourraient l’empêcher de (…)