Sea, Sail & Surf news

Du grand large à la plage : Toute l’actualité des sports de glisse depuis 2000

#Diam24

Jérémie Beyou : "je suis vraiment enthousiaste à l’idée de participer au Tour de France à la Voile"

Diam 24, Solitaire du Figaro et préparation du 60’ au programme du skipper Maître CoQ

mardi 2 décembre 2014Redaction SSS [Source RP]

En 2015, le skipper Maître CoQ a choisi de disputer le Tour de France à la Voile sur son nouveau support le Diam 24 Diam 24 #Diam24 OD, de tenter un quadruple titre sur la Solitaire du Figaro Solitaire du Figaro #LaSolitaire tout en supervisant un gros chantier d’optimisation de son Imoca Imoca #IMOCA . « Ça va être bien occupé l’année prochaine », se réjouit le skipper Maître CoQ, heureux de multiplier les expertises, surtout en mer.

Pourquoi le Tour de France à la Voile ?

Jérémie Beyou : « S’ouvrir à de nouveaux supports est la meilleure façon de progresser, c’est notre marque de fabrique au sein du Team Maître CoQ. Je suis également très content de revenir à un travail en équipage. C’est une belle occasion de croiser des savoir-faire, d’apprendre des autres. Enfin, c’est aussi pour moi un retour vers le multicoque (après un passage sur le circuit Orma et la tentative de record Record #sailingrecord autour du monde avec le maxi Banque Populaire, ndlr). Pour toutes ces raisons, je suis vraiment enthousiaste à l’idée de participer au Tour de France à la Voile !

Et puis, c’est une épreuve qui va toucher un large public. ASO sait créer des événements populaires, interactifs, innovants, à l’écoute des partenaires. Ce format est très bénéfique pour la visibilité de notre sport et a tout de suite séduit Maître CoQ. »

Quels sont tes objectifs sur le circuit du Diam 24 Diam 24 #Diam24 OD ?

Jérémie Beyou : « Il faut être ambitieux. Nous y allons clairement pour performer. Le niveau est encore hétérogène sur ce circuit. On connaît les contraintes de la monotypie, la méthode de base c’est de naviguer ! Je vais choisir des équipiers habitués du Tour de France, très compétents en voile légère et en équipage et avec qui j’ai l’habitude de naviguer. »

Cela ne risque-t-il pas de se chevaucher avec la préparation à la Solitaire du Figaro Solitaire du Figaro #LaSolitaire  ?

Jérémie Beyou : « Les deux calendriers se complètent vraiment très bien. Le Figaro Bénéteau sera en chantier de mi-décembre à début janvier, les premiers entraînements auront lieu mi-janvier. Pendant ce temps, Pierre-François Dargniès (en charge du bureau d’études du Team Maître CoQ, ndlr) va anticiper la préparation technique du Diam 24 Diam 24 #Diam24 OD que nous réceptionnerons en mars : juste à temps pour participer à toutes les épreuves d’avant saison dans de bonnes conditions. À partir de là, ce sera une semaine d’entraînement en Diam 24 OD, une semaine en Figaro Bénéteau. C’est un programme très sportif, je vais passer mon temps sur l’eau, ça me convient parfaitement ! »

La Solitaire du Figaro Solitaire du Figaro #LaSolitaire  : la quadruple victoire en ligne de mire

Jérémie Beyou : « Je suis monté en puissance toute l’année dernière en Figaro. Une 4e victoire est possible. Il y a bien sûr encore des pistes de travail, mais l’idée est d’exploiter les acquis de cette année pour être le premier à décrocher un quadruple titre sur cette épreuve ! C’est une course fabuleuse qui m’apporte beaucoup sportivement. C’est la course de référence en solitaire. Si on continue d’y aller pour gagner, c’est avec beaucoup d’humilité, car c’est une remise en question permanente, rien n’est jamais acquis. C’est la meilleure des écoles de la course au large en solitaire. Je suis fier d’y retourner… »

3e gros volet de cette saison 2015 : le chantier de l’Imoca Imoca #IMOCA , Maître CoQ 2

Jérémie Beyou : « Là encore, il faut être ambitieux. Le chantier va se dérouler en deux temps. De janvier et mars, ce sera un démontage complet et une remise à neuf de toutes les pièces d’équipement du bateau. Un check-up intégral, comme pour un Vendée Globe…

Ensuite, viendra une phase d’observation des six Imoca Imoca #IMOCA neufs et de leurs plans porteurs. En fonction de ces premières analyses, nous nous lancerons, ou pas, dans une deuxième phase d’optimisation des appendices, du gréement…

Nous devrons aussi faire face à des contraintes financières et de calendrier. Tout cela sera à affiner dans le premier semestre. »


Voir en ligne : Info presse Agence Kaori / www.maitrecoq.fr/voile/



A la une